Les nuages paraissaient extrêmement lourds, en effet la pression atmosphérique exerçait une vive pression sur le corps de la Raïkage, qui laissait prévoir un orage ce que celle qui est nommée Tsubaki adore. En effet elle aime entendre ce tonnerre qui gronde, elle aime admrirer la beauté vive des éclairs zébrant les cieux, elle aimait sentir cette vive pression.
killer était dans son bureau, contrairement à ce que font les quatre autres Kage, notre abeille tueuse, elle, faisait des abdominaux et des pompes, un petit échauffement pour son futur entraînement qui consistait a apprendre de nouvelle technique de sa toute nouvelle affinité récemment découverte : le Doton. Une affinité fait pour les bourrins qui aime foncer dans le tas, tout à fait dans le style de Dame Tsubaki qui elle ne réfléchi jamais quand elle tape ; en effet elle se laisse porter par ses émotions dominatrices. Elle avait récemment découvert cette nouvelle affinité quand elle avait fait le test de la feuille, celle-ci se froissait ( Raïton), une autre s'humidifiait (Suiton) et une nouvelle se froissait et se déchirait violemment ( Doton). Tsubaki abandonna ses étirements, pris un serviette et s'essuya le front, pris le temps de faire un peu de paperasse et enfin partie de son bureau en prenant grand soin de ne pas le fermer car, elle seul détient se sésame pour rentrer.
killer n'avait pas mis -aujourd'hui- son uniforme de anbu : c'était inapproprié pour un entraînement, elle avait plutôt opté pour un un haut plus ou moins moulant laissant voir son nombril ( doté d'un piercing en forme de spirale en saphir), un pantalon pas trop court et ses scandale de shinobi habillé comme ça elle entreprit de sortir dans la rue histoire de rejoindre son lieu d'entraînement favorit: la Cascade Tsuki, littéralement Lune en français. Elle se dirigea vers la sortie du palais quand un membre du Haut-Conseil l'interpella, c'était Ryû Aïgetsu :
Conseiller Aïgetsu: -Raïkage-dono, je vous l'ai dit cent fois de sortir avec votre uniforme de Kage, et puis vous êtes accoutré comme si vous allez dans une salle de sport ! Et puis vous avez des papiers et des missions a fournir je me trompes ?
Pein se retourna en attachant ses cheveux au reflet chocolat et répliqua en faisant semblant d'écouter ses sermons :
Tsubaki: -Oui, oui Ryû-kun... mais là tu vois je vais m'entraîner, donc les longue robe très peu pour moi désolé j'dois y aller !
Pein se mit a courir pour échapper à son courroux. Elle trouvait ce conseiller attachant mais de vieille école, il râlait toujours quand la Raïkage ne mettait pas ses vêtement officiel... d'ailleurs celui-ci dû batailler pour faire mettre en permanence ne serait-ce que le chapeau au maître de Tsubaki. Le conseiller soupira d'un air désespéré et dit en la regardant partir:
Conseiller Aïgetsu: -C'est fou ce qu'elle ressemble à son maître... bon moi aussi je dois aller vaquer a mes occupations...
Pen se balada dans le village en constatant que le village se portait bien, les villageois travaillaient, faisaient leurs course, les enfants jouaient ensemble avec de temps en temps des bagarres. La Godaïme décida de passer à son pâtissier préféré: Sato-san, il faisait de délicieuses tartes au citron, c'était un vrai régal. Une fois sortie elle se dirigea vers les porte du village des nuages, le tout en saluant familièrement les gardes, elle avait même fait un clin d'œil au plus mignon d'eux et suivit son chemin vers les Cascades Tsuki.
Une fois arrivée à ce lieu, elle déposa son sac vers un sapin. Elle s'approcha de la cascade posait légèrement sa main et se mouilla le visage et repartie en direction du tronc d'arbre tailladé de coup de poing et de coup de pieds. Elle sortie de son sac un petit parchemin de couleur brune avec marqué le kanji "Terre", elle l'ouvrit et elle lut les indication pour maîtriser la technique Doton Doryûtaïga ... elle lit le parchemin et commença son entraînement.
" Faire les mudras suivant:
Chien, Sanglier, Coq, Tigre,
Taper de la main sur le sol,
Étendre son chakra Doton sur le sol pour soulever de la boue,
Le faire glisser sur son adversaire. Fin. "
Tsubaki sourit alors, c'était plutôt simple en apparence, donc elle fit se que dit le parchemin... elle fit les mudras qui disaient de faire, ensuite elle tapa sa main sur le sol, et c'est là que sa commençait à poser problème... c'était de pouvoir manier le chakra de type Terre, c'était plus dur que de manier celui Raïton. Enfin bref l'ombre de la Foudre ne laissa pas décourager et refit l'opération essayant ainsi de manier ce chakra : toujours rien... elle réessaya en tout et pour tout une dizaine de pour arriver à un résultat plutôt satisfaisant. Elle suivit après la prochaine étape de l'apprentissage de sa technique, il fallait soulever la terre pour en faire une coulée de boue, c'était plutôt facile, car avec tous ses essais, elle avait réussi a manier cela. Donc pour l'étape suivante, c'était de faire glisser ceci sur son adversaire -dans notre cas le tronc d'arbre-. Donc elle refit ses mudras, suivit les étapes et dit d'une voix pas trop forte vu qu'au dessus de la cascade se trouvait une maison de retraite et à cette heure-ci il font la sieste:
Pein: Doton Doryutaïga.
Une coulée de boue plutôt mince se déversa au pied de Tsubaki qui s'aglutina et explosa ce qui projeta la Raïkage contre un rocher et en un éclaire pour éviter se blesser dit :
Tsubaki : Zut vite un truc...! Raïton no Yoroï !
La Godaïme broya le rocher grâce à son armure et annula celle-ci qui consommait du chakra inutilement vu qu'elle avait personne en face d'elle ( cad adversaire.)... elle réessaya encore une fois en refaisant chaque étape à la lettre en essayant de s'appliquer et dit :
Pein: Pour la 10e fois !Doton Doryutaïga.
Un autre flot de boue s'écoula, celui-ci était plus gros et se déversa juste à côté du tronc d'arbre. Maintenant que la théorie était faite, il fallait réguler la précision de ce "fleuve de boue". Elle refit encore une fois toutes ces opération de plus en plus vite et redis une pour la Xième fois :
Pein: Pour la 11e fois ! Doton Doryutaïga.
Ce coup ci ce jutsu fut un peu plus précis et alla se terrer sur le tronc d'arbre usé. La technique était a peu près acquise restait encore à réguler la force mais cela ne pressait pas.
